Hier matin j’avais cette chanson en tête :
Cette chanson a plus de 20 ans… et reste malheureusement pleinement d’actualité.
Depuis un peu plus d’une semaine, des hommes et des femmes se sont réunis à Copenhague pour parler de l’avenir du climat de notre planète.
Nous avons pu entendre ici ou là des remarques de personnes trouvant injuste que l’on focalise sur ce congrès de Copenhague alors que celui de la FAO contre la faim dans le monde est passé presque inaperçu.
J’ai la chance d’avoir des amis actuellement sur place, à Copenhague.
Certains sont dans le centre officiel, le Bella Center, où se tiennent les conférence officielles.
D’autres (et quelques fois les mêmes) participent aux manifestations alternatives.
Que ce soit d’un côté ou de l’autre, il ne fait aucun doute que la question climatique ne fera qu’aggraver les déséquilibres existants.
Et le problème n’est pas tant le climat que la mainmise d’une poignée de nantis qui voient dans cette question du climat un nouvel Eldorado, une nouvelle manière de s’enrichir ou de conserver les richesses déjà acquises.
Ceux là feraient bien de penser juste un instant aux enfants à venir, et pas uniquement à leurs propre descendance.
Et parmi les slogans qui circulent dans les rues de Copenhague, un qui me plait bien est le suivant :
Et au-delà de nos politiques, n’est-ce pas notre rapport à l’autre, mais également notre rapport à nous-même qu’il conviendrait de changer ?
« C’est le moment de cesser de se montrer du doigt, de commencer à se regarder dans un miroir »
Ban Ki-moon via @terraeco sur twitter lors du sommet de Copenhague
Aller, pour terminer sur une petite note humoristique – mais néanmoins pleine de sens – je vous invite à écouter la « Chanson du dimanche » :
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