Le dragon qui se regardait le nombril (2019)
12,50 €
2 Contes
1) Le dragon qui se regardait le nombril, Patate le dragon, doit absolument s’occuper de son nombril, et les problèmes de Quenouille le mouton importent peu.
2) Patate lit un livre sur les dragons, et ne se reconnaît pas. Face aux préjugés, aux étiquettes que l’on pose, faut-il s’y conformer ou s’affirmer ?
Pour en savoir plus
Les histoires :
Le dragon qui se regardait le nombril. Pour Patate le dragon, rien ne peut le déranger lorsqu’il s’occupe de son nombril, pas même les soucis de Quenouille le mouton…
Pourtant en laissant un peu de côté son amour-propre débordant, et en prenant soin de Quenouille, une amitié va naître. Grâce à cette amitié, Patate va découvrir qui il est vraiment : un dragon ! Ainsi il pourra s’ouvrir à la vie, et tout simplement commencer à vivre.
Patate le dragon, tout simplement, un conte sur l’affirmation de soi. Patate lit un livre sur les dragons, et ne se reconnaît pas. Faut-il s’y conformer ou s’affirmer ? Que faire ? Patate et Quenouille auront à choisir entre être un magadou à crête orange ou un ragouton laineux à cornes, mais peut-être que l’important est d’être soi !
Pour qui :
Avec beaucoup d’humour et des illustrations magnifiques, ces histoires enchantent de 5 à 12 ans !
À propos :
Un dragon replié sur lui-même, ne connaissant du monde que son monde, son nombril. Un mouton plein de vie, drôle et pétillant, qui va faire découvrir à Patate le dragon combien la vie peut être belle quand on regarde les autres…
Depuis 2004, Patate le dragon et Quenouille le mouton croisent le quotidien de nombreux enfants. « Le dragon qui se regardait le nombril » fait partie de ces histoires qui se racontent plus qu’elles ne se lisent : ces histoires que l’on ne peut garder pour soi et que l’on a envie de partager avec tous ceux qui nous entourent.
En quelques pages, Stéphanie Léon en dit aussi long sur l’ouverture aux autres, l’importance de l’échange et la richesse de la différence que des livres de 325 pages pour les adultes.
Le mot des éditeurs :
Lorsque nous avons reçu le projet de Stéphanie Léon, qui se définit elle-même comme « une chose bizarre trouvée derrière un pot de fleur », nous avons craqué pour ce texte joyeux, tendre, poétique.
C’était l’un des premiers textes que nous recevions et nous sommes l’un et l’autre tombés en amour de ce dragon.